Sujet 1 : Quelqu'un marche ds la forêt entend et un son étra

Sujet lancé par Fitz
Dernier délai : 1er Juillet 2006

Sujet : Quelqu'un marche dans la forêt et entend un son étrange

Toutes les histoires concernant ce sujet doivent êtres postées ici et pas ailleurs ^^
bonne chance à ceux qui se lancent, moi ca y est

Ah mais si t'as fini tu peux poster hein ^^

J'aurai plutot pensé que chacun face la suite du truc...parce que la sa va etre super long a lire et tout!! alors que si chacun fait une suite de 3/4 lignes!! Bon c'est vraie sa fais un peu série débiles française ou a chaque minutes il se passe quelque chose d'incroyable et finallement l'histoire devient interminable mais sa peut etre sympa de crée un endroit pour faire sa!!

Rien n't'empeche de faire un topic comme ca, j'viendrai dessus avec plaisir ^^
Mais non ici c'est pas comme ca.

Le bruit est de plus en plus perçant , on le perçoit tellement bien qu'on pourrait presque distinguer les notes qui le composent .OUI !
C'est ça , ce n'est qu'une musique , pourquoi aurait on peur d'une petite musique gentille et fluette ????
Le détail est que l'on est dans une forêt qui fait plutot flippée avec personne à coté de soi et encore une chose on sait qu'ici (ou du moins pas trop loin de ce "ici" ) il y a une maison gigantesque avec un pépé genre "je te descend à la carabine" si on le réveille de sa petite sieste !

Parce que évidemment j'ai oublié de préciser que ça se passe en hiver par temps d'orage et il fait nuit( comment cela pourrait être autrement??? )
Inutile de préciser que c'est la terreur totale ! alors d'où vient cette musique qui à présent parrait presque agréable !
Alors mon personnage s'approche de ce qu'on apppelle communément un buisson , il voit une petite lueur , serait -ce une vision??? Quelquechose que l'on espère tellement qu'on croit l'apercevoir ?Il s'approche , il avance même de plus en plus vite , jusqu'à arriver à cette lueur .

Elle vient de là , la musique , c'est du bach , non , plutot du mozart , ça sonne tellement bien ; on se sentirait presque en sécurité...
Mais la vie est faîte de telle sorte que la lueur que l'on voit et le désir que l'on a d'entendre ce que l'on souhaite est un mauvais signe .
Il était musicien mon personnage , il rêvait de vivre de son art mais son art l'a perdu , son dernier soupir ressemble à une explosion de joie.
Sa dernière joie fût d'entendre non pas bach , ni mozart , mais son oeuvre jouer pas sa propre personne à travers cette lueur .

On retrouva le lendemain un homme allongé dans la forêt, il fût autopsié mais personne ne put dire de quoi il était mort...

Spécial, tant mieux
Essayes juste d'éviter les smileys dans le texte
Et pis quelques petites fautes aussi.
Je m'attendais pas à ce genre de texte, et je le redis, c'est tant mieux ^^

oups, c'est vrai, j'avais dit à Glow que je m'y mettrai ...

Bon ben voilà le mien, c'est court, plus court que ce que je pensais faire au départ.

Printemps 44

Avez-vous déjà senti les arbres au printemps ? Toute cette vie bourgeonnante, qui se prépare à naître aujourd’hui, et à mourir demain ? C’est sur un petit sentier que je sens tout ça, dans une forêt de chênes. Je plains ceux qui habitent dans un enfer de goudron et de fumées nauséabondes. D’ici on peut même entendre des oiseaux chanter pour leur belle.
Je m’arrête une minute… Il n’y a pas que les oiseaux que j’entends… Je ne parviens pas à savoir de quoi il s’agit, et je me remets en route.
Une ombre passe sur moi, des nuages arrivent… Il va falloir que je me dépêche si je ne veux pas rentrer trempé.
Et de nouveau ce bruit… On dirait une sirène d’alarme ou quelque chose comme ça. Je veux savoir ce que c’est, tant pis pour la pluie.
Je sors du sentier.
Je marche quelques kilomètres dans la verdure. le son se fait entendre de plus en plus fort. Je continue à penser que c’est une sirène. Mais pourquoi ? Que peut-il se passer ? On a peut-être besoin de moi là bas.
Ou peut-être pas.
J’arrive à l’orée de la forêt. Je vois un camp. Ils sont vêtus de haillons, avec une étoile jaune sur le côté. Ils sont maigres, ils sont prisonniers. Il y en a dans de beaux uniformes verts, avec des pistolets à la ceinture.
Je sais que je ne peux rien faire pour eux, et je repars vers mon petit chemin.
Loin de ce lieu qui pue la mort.
J’espère qu’il ne pleuvra pas.

Je sais que j'ai un style très spécial mais cela vient de certains bouquin que je lis , en ce qui concerne les fautes je ne m'appelle pas "larousse" et j'ai fait ça directement sur internet sans faire de brouillon avant , donc ce genre de détail .... j'en suis dsl
En ce qui concerne les smileys c'était une envie et je ne le regrette en rien !

Sens Trompés

Il marchait, marchait, remuait les buissons et les feuillages cherchant une plante, celle qui le sauvera peut-être s’il arrive à se la procurer à temps. Il aurait dû se douter que cette prime était bien haute pour une proie aussi faible, (du moins en apparence) car l’incroyable rapidité à le blesser avec son épée empoisonnée eurent raison de lui. Son ennemi n’avait même pas voulu se rabaisser à le tuer, persuadé qu’il allait mourir dans l’heure à venir.
Et il avait raison.
Sauf si le chasseur de primes trouvait à temps la plante nécessaire à sa survie.
Alors qu’il s’affaiblissait de minutes en minutes, il entendit un léger sifflement : il faisait plutôt froid dans le dos avec ses fluctuations imprévues et loin de toutes harmonie, mais il était paradoxalement attirant. Mais la survie était plus importante que la curiosité, aussi il continua à chercher, quand il remarqua tout à coup des rhododendrons, or il savait que là il y en avait, il se trouvait à proximité l’eldas, la seule plante qui pourrait le sauver. Car ce qui coulait dans ses veines était un poison à action rapide. Très rapide. Il le savait et il pensait avoir reconnu les symptômes de la sève de fleur de dragon : sa respiration s’est accélérée, sa vision a du mal à se coordonner avec son esprit et les couleurs ne lui parviennent plus que déteintes et il avait l’impression de marcher au ralentit.
Il ne lui restait plus très longtemps.
Son esprit commence à s’égarer. Chose curieuse, en suivant les rhododendrons (mais était-ce vraiment des rhododendrons ?) qui commencent à être de plus en plus nombreux, il s’aperçoit qu’il va dans la direction du sifflement étrange, ce qui inquiète quelque peu l’homme. Mais il n’a pas d’autre choix que de continuer s’il veux avoir une chance de vivre.
Les rhododendrons se multiplient et fleurissent de part et d’autre du chemin qu’il se trace dans la forêt, jusqu’au moment où il n’y a plus que ça : des rhododendrons encore et encore. Mais où est l’eldas ? On n’en voyait nulle trace. En revanche l’origine du bruit si étrange est maintenant découverte : Une petite flûte en bois sculpté prise dans les branches d’un arbre mort et dans les vents qui le travers. Une flûte ! C’est donc ça qui lui avait fait autant s’inquiéter ! C’était presque risible, si le temps ne lui était pas compté, il aurait certainement rit de lui ! Mais où est donc l’eldas ? Le temps presse, sa vision commence à se déformer et devient trouble, il ne pourrait bientôt plus reconnaître aucune plante, mais y arrive t-il déjà maintenant ? C’est alors qu’il entendit un bruissement de feuilles et un craquèlement de bois sec. Quelque chose se rapprochait. Mais quoi ? Il ne voyait plus assez clair maintenant pour le savoir et n’entendait quasiment rien à cause du sifflement lancinant de la flûte, imperturbable face à la détresse du pauvre homme. Le bruit se rapproche encore. Qu’est-ce que c’est ? la flûte sifflait toujours. Etait-ce vraiment un son normal pour une flûte ?
Il ne savait que penser, ni que faire. On ne lui en laissa de toute manière pas le temps : il se retourna brusquement croyant avoir entendu un bruit derrière lui, mais sa vision trouble semblait démentir une quelconque présence. Pris d’une soudaine panique, il sortit son épée et fit de grands moulinets avec, mais il ne réussissait qu’à blesser des arbres.
Tout à coup, quelque chose le happa et mit fin brutalement sa vie.
Le démon des marais était content de son piège : ses sifflements produit par sa langue fourchue combinés à ceux de l’étrange instrument attiraient des créatures de touts sortes, y compris des humains.
Le monstre entreprit alors de prendre les morceaux de choix tels que la tête, les cuisses et intestins. Son repas était fait.
Il laissa le soin aux charognards de prendre ce qu’il leur plaira dans le cadavre, situé dans un…champ d’eldas.
Ses sens empoisonnés l’avaient trompé.

Hmmmmmm y a un problème avec ton texte je crois... Les temps. Tu mélanges présent et passé :s
'Fin sinon ca reste chouette, on risque pas de s'attendre à la fin ^^

oui, j'ai remarqué, mais j'avais la flemme de me relire ^^
je le modifierait plus tard pour pas que ca fasse tâche

c koi le but la en faite?ecrire le plus long charabias possible :s lol

Non simplement faire le plus beau texte possible sur un sujet donné.

D'ailleurs si quelqu'un veut lancer le second atelier...

ok et je suiverais !!lol je lance pas...